Les points quantiques de pérovskite (PeQDs) offrent une FWHM et une émission ultra-large même lorsqu'ils sont fabriqués à basse température avec des densités de défauts relativement élevées. Les PeQDs rouges restent insaisissables en raison de problèmes d'instabilité. En revanche, la verte est déjà suffisamment stable.
Avantama présentera des résultats passionnants lors de la conférence TechBlick sur les microLEDs et les Quantum Dots, les 30 novembre et 2 décembre 2002, en montrant comment les PeQDs peuvent apporter de la valeur en tant que films de conversion dans les LCD miniLEDs et en tant que convertisseurs de couleur dans les microLEDs. Voir l'agenda complet et s'inscrire ici www.TechBlick.com/microLEDs
MiniLEDs
Dans la première diapositive ci-dessous, vous pouvez voir un film de conversion de couleur composé de PeQDs verts (par Avantama) et de phosphores KSF rouges. Les phosphores rouges KSF offrent cinq pics rouges ultra étroits. Ils sont désormais une solution établie dans de nombreux systèmes de rétroéclairage dans lesquels ils sont utilisés comme phosphore rouge directement sur la puce LED.
La combinaison unique (PeQD vert et phosphore rouge KSF) réunit donc les meilleures performances, en associant l'émission étroite du PeQD vert à l'émission étroite et à la stabilité éprouvée des phosphores KSF.
Le spectre d'émission de la feuille de conversion des couleurs yellom est présenté dans la première diapositive. Cette feuille peut être appliquée à des écrans LCD avec des rétro-éclairages à mini-LED. Les résultats sont présentés dans la diapositive 2. On peut y voir que le film PeQD+KSF permet une luminosité supérieure de 40% par rapport à un film de conversion des couleurs à base de QD à faible teneur en cd. Il offre également une gamme de couleurs légèrement plus large. Cela prouve qu'il s'agit d'une bonne solution en termes de performances.
Mais la question de la stabilité reste posée. C'est le grand défi des pérovskites. Mais comme le montre la diapositive 3, le film PeQD/KSF d'Avantama est aussi stable qu'une feuille de phosphore d'Apple lors d'un test de chaleur (60 °C) et d'humidité (90 % h.r.). En outre, le film est aussi stable que la feuille InP QD de Samsung, même sous l'effet de la lumière (300mW/cm2) et de la chaleur (50°C). Ce sont de bons résultats qui montrent une stabilité suffisante pour une adoption commerciale.
MicroLEDs
La diapositive 4 montre les performances des PeQDs purs (sans résines) en tant que convertisseur de couleur, montrant l'absence de pertes par réabsorption, l'absence d'extinction des QDs et une densité optique très élevée (2 par 5um d'épaisseur) qui est nécessaire pour éviter la fuite de lumière bleue.
Bien sûr, la question reste de savoir comment déposer les QDs sur les microLEDs. Une option est la photolithographie. Cette méthode est présentée dans la diapositive 5. L'approche sans résine est particulièrement intéressante car elle permet d'éliminer la résine supplémentaire durcissable par UV, ce qui réduit le rapport OD/um.
La dernière option consiste à imprimer la technique en utilisant l'impression électrohydrodynamique. Cette technique permet d'imprimer des pixels de <10um ! En outre, aucune résine n'est nécessaire et il s'agit d'un procédé additif.
Rejoignez-nous le 30 novembre 2022 et le 1er décembre 2022 pour un merveilleux programme de conférences sur les microLEDs et les Quantum Dots, animées par tous les leaders du domaine. Voir le programme complet et s'inscrire ici www.TechBlick.com/microLEDs
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